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De la promenade du dimanche au rallye raid, en passant par ton tour du monde à toi que tu as fait, c'est ici: Organise, rameute, raconte!
12 Juillet.
Départ de Charleville Mézières, où on se rencontre tous les 4: Bohème et Cubituss viennent de Belgique, moi de Valenciennes et Jéjé de Creil... (Bohème à gauche et Jéjé)
Premier arrêt pour déjeuner, le temps est superbe, nous roulons sur des petites routes désertes et ensoleillées... (de gauche à droite Flan, Bohème, Cubituss)
... même trop ensoleillées, ça tape fort. On arrive à Besançon, le temps de manger à la fraîche (Un resto ne veut pas nous accueuillir, on perd 1/2 heure à tourner... N'aiment pas les motards?). Grenouille nous a proposé un grand appartement pour la nuit, quel confort!
à Gaëtan et à sa compagne!La nuit venue, RDV devant l'église en attendant Grenouille:
13 juillet:
Vue depuis sa terrasse, après le café matinal et une discussion sympa:
En fin de journée, arrivée en Isère au camping de Choranche, le temps de monter les tentes:
Nous décidons de nous restaurer et ... désaltérer sous le patio à l'accueil... 1 heure plus tard un orage monstrueux s'abat sur le camp. On en profite pour se perfectionner au babyfoot sous le tonnerre
Puis il faut se réfugier sous les tentes, ... ça commence bien, chacun espère secrêtement que ça ne va pas durer
14 juillet: Miracle!:youpiii
Le patio du campinje...
Le ciel est dégagé, direction le village que nous n'avons qu'entrapperçu la veille... afin de jouer aux touristes. Mignon n'est ce pas?:
Voici le resto (le patron est motard) où nous avons passé une très bonne soirée quelque temps plus tard, agrémentée par des bourrasques briseuses de vitres, un groupe de ducatistes chauds bouillants, et une ficelle de string que plus d'un aurait eu envie d'ajuster (bah quoi, on est perfectionniste ou on ne l'est pas!)
Il faut bien faire des courses... Et dans la bourg d'à côté, on tombe sur ... une @T et une bourgeoise!
Retour au campinje, ... admirez notre salle à manger:
Une belle balade improvisée nous met l'eau à la bouche:
Nous faisons un peu d'escalade avec Jéjé pour aller voir une retenue d'eau EDF perchée au dessus d'un virage... Erreur, on rentre 20 mn plus tard, baignant dans notre jus.
Et le soir, surpraïze: RVcoincoin et Nathalie viennnent d'arriver de Salon de Provence. Deux courageux... sudistes, qui ont bravé la pluie et l'orage!:pasfou
(Devinez laquelle est la tente des fans de l'OM!)
Quelques aménagements s'imposent:
La poubelle:
Le frigo:
La cuisinière:
Le salon de jardin:
La déco:
15 juillet:
Départ à 5 motos vers Villars de Lans, pour le ravitaillement (il faut bien trouver un argument pour la balade) (Nathalie, RVcoincoin et Cubituss):
(Pour l'anecdote, deux places devant moi dans la file de la caisse enregistreuse, Sophie le Saint fait ses courses... je dis ça pour les aficionados de Télématin.
)A notre retour, RVcoincoin s'arrète à la hauteur d'un gars louche qui nous observe, il va même jusqu'à bavarder avec lui et lui serrer la main!
Mais oui c'est lui, c'est Herr Doktor en personne, alias Stefter.
Ici de dos en train de donner quelques cours (De G à D: Cubi, Stefter (de dos), Jéjé, Bohème):
Hélas RV et Nathalie nous quittent, sous prétexte de rouler à nouveau sous l'orage...
(rappelons qu'il reviennent vers ... le sud
)Stefter nous entraîne tout l'après midi qui suit dans une belle balade, qui se transforme en cours de pilotage intensif au fil des kilomètres. Cubi s'accroche derrière Darkos, je fais ce que je peu, Jéjé s'acharne à retailler ses pneux en rond et Bohème ferme la marche prudemment: Les verres progressifs ne sont pas très indiqués pour ce genre de route.
Arrivée au col de la bataille, y a pas de mots, c'est magnifique:
Stef me propose d'échanger nos machines, c'est donc avec un peu d'appréhension que j'enfourche les 750cm3 de Darkos le sombre. La prise en main est naturelle: Pour me rassurer je me dis qu'autour du vilain moteur de l'@T il y a une gentille T@... Mais le reste n'a rien à voir, et ça pousse et ça pousse! Braaaaa, et la ligne d'échappement perso émet un rugissement rauque qui laisse derrière moi un sillage à faire frémir les résineux. C'est pas très constructif comme essai mais chapeau monsieur Stefterius!
Cette redescente reste au même rythme, tout aussi éprouvante pour moi, mais quel pied! Et enfin après l'effort, la petite pause afin de laisser souffler les mécaniques et s'humecter les gosiers:
Et c'est repartiiii de plus belle (ça ne s'arrètera donc jamais
). J'en avais oublié le paysage. C'est presque encore plus beau que tout à l'heure:
Tiens voilà le Darth Steftor et son croiseur impérial (pas commodes hein?):
Les jolies routes (c'est quand la ligne droite?)
A la fin, la pluie s'abat, c'est l'occasion de continuer à se désinhiber en suivant Stef qui ne ralentit pas (les peuneux son chaud, donc y a du grip n'est ce pas? warf... ).
A la sortie d'un village j'assiste à une arsouille sanglante entre le Doktor et un gars du coin, j'essore la poignée et je cravache mamie, ça m'a mis dans l'ambiance tout ça.... Gaaaaz! M'enfin on va pas se tuer hein
Je n'ai pas le talent ni l'expérience, d'ailleurs ils sont déjà loin, j'arrète de rêver Le temps de dire arvouar à Stef autour d'une autre binouze et chacun regagne ses pénates, superbe journée, on a la banane!
Le 16 juillet:
Trop chaud, on décide d'aller se baigner dans un lac à 50 bornes (quand je vous disais qu'il fallait trouver des prétextes àlakon pour se balader
).
Jéjé a connecté le Pocket PC et l'antenne GPS, il demande une route "au plus court". On sera servi: Route à vaches, pistes caillouteuses, petites routes sympas!
17 juillet:
Hélas il faut songer nous aussi au retour. On charge les mules et les routes nous reprenons... Arrêt déjeuner chez Stefter à Brezins. Le temps qu'il monte un moteur d'@T 750 sur la mienne et fasse une préparation spéciale sur les autres, nous dégustons et profitons sous les arbres jumeaux, en faisant connaissance de la sympathique petite famille.
Y a de la pièce à vendre, et chacun fait son marché. C'est ça aussi l'isèroise
Les routes bien qu'agréables, petites et désertes nous semblent bien droites après les pentes du Vercors. Nous dégottons un camping paumé, et désert, avec un lac immense et chaud où nous ne manquons pas de nous dégourdir les muscles. En tous cas pour Jéjé et moi car la branche belge de notre équipe préfère de loin tester les bières du restau.
Jéjé s'inquiète pour son radiateur, un peu de démontage le rassurera:
Le lendemain 18 juillet, quelques photos en vrac du paysage:
Une halte à Nuit Saint Georges, après la traversée d'un sentier forestier de 15 bornes qui se trouvait inopinément sur la route...
Et pour terminer un hommage à nos belles, qui nous ont superbement servies: Fiables, économiques, passe-partout, confortables... (Dans l'ordre, celle de Bohème, Cubituss, Jéjé et Flan):
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) 
) + derouleur
